Les banques libanaises ont rouvert leurs portes au public, vendredi 1er novembre, après deux semaines durant lesquelles elles sont restées fermées en raison des manifestations qui ont mené à la démission du gouvernement.
Les établissement bancaires craignent une fuite des capitaux, mais la Banque centrale a demandé aux banques de ne pas imposer de contrôle, de peur que de telles mesures ne fassent peur aux investisseurs.
Le gouverneur de la Banque centrale a toutefois laissé les banques libres de décider de mesures individuelles. Celles-ci prévoient donc de n’autoriser les virements bancaires vers l’étranger que pour certaines situations, notamment les cas d’enfants faisant leurs études à l’étranger et ayant besoin de virements en provenance de leur famille.