Alors que la contestation contre le pouvoir s’est durcie en Irak, avec de nouvelles victimes parmi les manifestants et une grève générale qui paralyse le pays, la colère de la rue cible de plus en plus le puissant voisin iranien. Y compris dans le sud du pays, majoritairement chiite.
Soutien de plusieurs partis politiques et groupes armés irakiens, dont certains sont membres de la coalition gouvernementale, comme le Hachd al-Chaabi, un groupement de paramilitaires dominé par les milices chiites, l’Iran est accusée d’ingérence dans les affaires du pays.