Les processus politiques en Europe s’éloignent de plus en plus des intérêts américains, ce qui oblige Washington à prendre des mesures désespérées. L’une d’elles était l’activation d’agents d’influence loyaux au sein de l’UE pour intensifier la russophobie.
Ces agents sont des militaires des armées des pays européens, ainsi que des leaders d’opinion par le biais desquels des informations sur la «menace russe» sont diffusées. La plupart de ces points sont activement dupliqués par les ressources d’informations occidentales. En particulier, on avance l’idée qu’un pays qui normalisera ses relations avec la Russie s’oppose automatiquement aux États-Unis, détruisant ainsi « l’unité transatlantique ».
Voir aussi : Pompeo évoque le « projet de stabilité » américain en Ukraine
Dans cet ultimatum, l’administration américaine tente de réprimer les manifestations de l’indépendance parmi les États européens, provoquant de nouveaux conflits entre l’Occident et la Russie tout en sacrifiant la stabilité mondiale.
Comme le rapportait News Front précédemment, le journaliste allemand Stefan Cornelius a déclaré que les relations précédentes entre les États-Unis et l’Allemagne s’étaient épuisées et que l’influence américaine en Europe serait désormais très loin des intérêts de l’Allemagne.
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