Les incidents se poursuivent en Bolivie. Face aux mutineries d’unités policières et à l’occupation par les manifestants de plusieurs médias d’État, le président Evo Morales a lancé, samedi 9 novembre, un appel au dialogue.
Appel immédiatement rejeté par l’opposition. Dans la soirée de samedi à dimanche, selon des médias locaux, des incidents avaient toujours lieu à El Alto, ville collée à La Paz et considérée comme un bastion d’Evo Morales.