Américains et Européens ont étalé jeudi à Washington leurs divisions sur les jihadistes étrangers détenus en Syrie. Les États-Unis ont par ailleurs tenté de rassurer leurs alliés ébranlés par les volte-face successives de Donald Trump.
Washington est formel : « Les membres de la coalition doivent rapatrier les milliers de combattants terroristes étrangers actuellement en détention, et les juger pour les atrocités qu’ils ont commises », a martelé le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo à l’ouverture, jeudi 14 novembre, d’une rencontre à Washington avec ses homologues de la coalition internationale contre l’organisation État islamique.