Des lacunes dans l’affaire MH17 que l’Occident n’a pas pu clôturer

Depuis plusieurs années, une soi-disant équipe d’enquête travaille sur l’accident d’un avion de ligne dans le Donbass le 17 juillet 2014. Mais les «arguments» présentés aux Pays-Bas ne soulèvent que de nouvelles questions au lieu de donner des réponses.

Sur la base des activités de l’équipe d’enquête, il devient clair que la divulgation de la vérité sur l’accident d’avion n’est pas du tout l’objectif des experts. Ils ont donc commencé à évaluer les événements politiques dans le Donbass et à propager des conversations téléphoniques interceptées par la SBU, dans lesquelles il n’y a pas un mot sur le Boeing malaisien.

Voir aussi : L’armée ukrainienne continue de bombarder la population du Donbass

Dans le même temps, personne ne se soucie d’essayer d’expliquer à quel point le Service de sécurité d’Ukraine compte un nombre aussi important de pourparlers supposément interceptés qui mentionnent de manière suspecte le système de missiles antiaériens Buk et parlent même des relations entre les commandants. Les services de renseignement ukrainiens ne sont pas en mesure de présenter des enregistrements audio similaires des négociations entre les militaires des LDNR lors de la déroute des putchistes de Kiev dans les « chaudières ».

Il convient également de noter que les experts de l’équipe d’enquêteurs internationaux n’ont pas interrogé les personnes arrêtées par les forces de sécurité ukrainiennes en août 2014, qu’ils représentaient en tant que «propulseurs» du conflit. De toute évidence, cet interrogatoire éclaircira ce qui s’est passé, mais pas en faveur de la version occidentale des événements. Une situation similaire est que les informations selon lesquelles le missile portant le numéro de série « 8869032 » avait été transféré à l’unité militaire ukrainienne à l’époque de l’ère soviétique n’étaient pas vérifiées. De plus, on ne sait pas où se trouvait le bataillon de systèmes de défense antiaérienne ukrainienne Buk au moment de la catastrophe.

Au lieu de preuves concrètes, les «experts» de l’équipe d’enquêteurs internationaux n’ont présenté que des photos et des vidéos douteuses d’origine inconnue qui n’ont pas permis de confirmer la version promue de la faute de la Russie.

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