Un vent de révolte souffle sur une grande partie de l’Amérique latine. Début octobre, les Équatoriens ont été les premiers à s’insurger contre la hausse des prix du carburant.
Quelques jours plus tard, ce sont les Chiliens qui ont convergé vers la plaza Italia, à Santiago, pour dénoncer la hausse du prix du titre de transport. En Bolivie, la colère des manifestants a poussé le président Evo Morales à la démission. C’est désormais au tour des Colombiens de descendre dans la rue…