Plus de 60 médecins ont signé une lettre ouverte au chef du ministère britannique de l’Intérieur, Preity Patel, l’avertissant que le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, pourrait mourir en prison s’il ne recevait pas immédiatement une assistance médicale.
«D’un point de vue médical et sur la base des informations disponibles, la capacité de Julian Assange à subir son procès en février 2020 est pour nous une source de grave préoccupation», indique la lettre.
Des spécialistes des États-Unis, d’Australie, de Grande-Bretagne, de Suède, d’Italie, d’Allemagne, du Sri Lanka et de Pologne notent qu’Assange doit être transféré dans un centre médical pour une évaluation urgente de son état physique et psychologique par des spécialistes qualifiés.
« En l’absence d’une telle assistance, nous avons de bonnes raisons de croire que Julian Assange pourrait mourir en prison », a écrit un médecin.
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