La police considère que l’attaque est intentionnelle. L’une des victimes a déclaré que le conducteur avait pris de la vitesse avant de toucher ses cibles.
Dans une banlieue de Londres, une voiture s’est écrasée contre un groupe de personnes près d’une école tuant un garçon de 12 ans, et faisant cinq blessés, rapporte mardi 3 décembre, l’armée de l’air.
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Parmi les blessés se trouvent deux enfants de 15 ans, un garçon de 13 ans, une fille de 16 ans et une femme de 53 ans. Les services d’urgence signalent qu’il n’y a aucune menace pour leur vie.
Une des victimes a déclaré que le conducteur avait pris de la vitesse avant l’impact. Les policiers ont également déclaré qu’ils considéraient que la frappe était intentionnelle.
La police a publié une recherche portant sur une Ford KA argentée, mais ils ont déjà arrêté un homme de 51 ans soupçonné de meurtre et de tentative de meurtre.
Le garçon décédé, comme les autres adolescents blessés, était étudiant à l’école de Willingale Road, près de laquelle il y a eu la collision.
L’une des victimes, Alfie Barnes, âgée de 15 ans, a déclaré que ses amis et lui marchaient sur le trottoir quand ils ont été renversés par une voiture. Selon lui, il a entendu derrière lui le bruit d’un moteur en marche, après quoi la voiture a roulé sur le trottoir et s’est écrasée contre le groupe. Il croit que le conducteur les a spécifiquement visés.
Rob Kirby, un détective du département des crimes graves de la police de Kent et d’Essex, a déclaré que l’incident était choquant et s’est tourné vers les conducteurs qui se trouvaient peut-être à proximité pour leur demander des enregistrements caméras.
Rappelons que le 29 novembre, Usman Khan, âgé de 28 ans, a attaqué des passants dans le centre de Londres. Deux personnes sont mortes des suites d’un coup de couteau. Usman Khan, 28 ans, vivait dans la région de Staffordshire. En 2012, Khan avait déjà été reconnu coupable de terrorisme et emprisonné pour huit ans. En décembre 2018, il a été libéré, mais la police a continué de le surveiller.
La responsabilité de ce qui s’est passé a été revendiquée par le groupe terroriste État islamique.
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