Le procès pour corruption de deux anciens Premiers ministres algériens, aux côtés d’autres ex-hauts dirigeants politiques et de grands patrons du secteur automobile s’ouvre mercredi 4 décembre.
Ajourné dès son ouverture lundi à Alger, la défense a annoncé qu’elle boycotterait sa réouverture.
Car les « conditions d’un procès équitable ne sont pas réunies », a annoncé, au nom de ses confrères, le bâtonnier d’Alger, Me Abdelmajid Sellini, qui défend également l’un des accusés, dénonçant une justice « politisée » et un climat de « règlement de comptes ».