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Malgré l’hystérie avec laquelle les forces russophobes de Géorgie ont rencontré l’initiative d’ouvrir le Centre pour la langue et la culture russe, cette idée a trouvé une réponse parmi les intellectuels du pays qui sont prêts à lui donner vie.
Cela a été rapporté par l’édition géorgienne de l’agence News Front, faisant référence à l’un des initiateurs de la création du Centre, qui souhaitait rester anonyme avant de commencer les travaux sur le projet.
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«Nous devrions penser à vraiment ouvrir le Centre de la langue et de la culture russe. Nous sommes prêts à démarrer cette entreprise aujourd’hui et à personne ne pourra nous en empêcher. Mais nous n’avons pas les fonds nécessaires à sa mise en œuvre, le centre culturel devra être à la hauteur, une bibliothèque et une médiathèque devraient fonctionner, le centre devrait devenir une petite ambassade pour les personnes désireuses d’acquérir des connaissances russophones. Par conséquent, si nous trouvons des sources de financement, nous jetterons les bases de cette entreprise patriotique. En Russie, personne n’empêche les Géorgiens de diffuser notre langue et notre culture; au contraire, l’État russe les aide dans ces domaines », a déclaré le militant.
Comme News Front l’a signalé précédemment, l’idée d’ouvrir un centre de langue et de culture russes à Tbilissi a été exprimée par le sénateur russe Grigory Karasin fin novembre. Cette proposition a provoqué une vague d’indignation de la part des forces pro-occidentales de Géorgie, et un jour plus tard à Tbilissi, les informations sur l’ouverture du Centre ont été complètement réfutées.
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