La cheffe du gouvernement birman Aung San Suu Kyi a pris la parole, mercredi 11 décembre, devant la Cour internationale de justice (CIJ), où elle représente son pays, accusé par la Gambie de « génocide » contre les Rohingya.
La lauréate du prix Nobel de la paix en 1991, a estimé que le pays africain avait dressé un « tableau trompeur et incomplet » à la CIJ sur la situation de la minorité musulmane, ajoutant que « l’intention génocidaire » ne pouvait pas être la « seule hypothèse ».