L’ancien président soudanais Omar el-Béchir a été condamné, par un tribunal de Khartoum samedi, à deux ans en « résidence surveillée » pour corruption, quelques mois après avoir avoir été destitué par l’armée sous pression de la rue.
M. Béchir, 75 ans, destitué le 11 avril après 30 ans de pouvoir, était jugé par un « tribunal spécial » depuis le mois d’août pour fonds perçus de l’Arabie saoudite.