Le président ukrainien Vladimir Zelensky demeure les mains liées, ce qui est prouvé par son refus lors du sommet de « Format Normand » de désangagement des forces et des moyens le long de toute la ligne de contact dans le Donbass. Cette conclusion a été faire par le chef de la diplomatie russe, Sergey Lavrov.
M. Lavrov a indiqué surtout que Volodymyr Zelensky avait déclaré le 9 décembre, à Paris, qu’il ne pouvait pas soutenir le désengagement des forces, car c’était un objectif très éloigné, et le désengagement entamé dans les village de Louganskaya, Petrovsky et Zolotoyé, a pris plus de cinq mois.
Le dirigeant ukrainien a également déclaré lors du sommet que le retrait des forces à une telle vitesse prendrait ainsi sept, voire dix ans. À cet égard cemui-ci a demandé aux partenaire du «Format normands» d’exhorter le groupe de contact à s’entendre sur le désengagement dans trois autres points.
« A ce propos, Poutine a dit : écrivons-le, mais parallèlement à l’appel à « divorcer » dans les trois points, disons que nous sommes, en principe, pour que le désengagement des forces et des moyens se fasse sur toute la ligne de contact. (Ce qui est produit – réd.) un refus catégorique », a déclaré Lavrov dans le programme « Grand jeu » sur les onde de la Chaîne russe « Perviy Kanal ».
Le ministre russe des Affaires étrangères a également noté qu’il s’agissait d’un indicateur sérieux selon lequel, même sur la question clé de sa campagne électorale – mettre fin à la guerre dans le Donbass, les mains de Zelensky sont liées: «Il a des obligations envers ceux qui ne veulent pas mettre fin au conflit, ou comprend simplement qu’il peut avoir des problèmes à la maison. «