L’emblématique messe de Noël de Notre-Dame de Paris n’aura pas lieu. Une première depuis 1803, huit mois après l’incendie qui, le 15 avril, a partiellement détruit l’édifice religieux.
Depuis, la cathédrale est toujours en péril. Une grue géante veille sur elle en attendant de démonter l’échafaudage qui la menace. Cette grue aura à mener l’opération la plus délicate de ce chantier herculéen de sécurisation. Une opération qui devrait démarrer début février et qui consistera à démonter, les uns après les autres, 10 000 tubes de métal (représentant 250 tonnes au total) que l’incendie du 15 avril a soudés.