Maintenant, un train circule entre la Russie et la Crimée. Il utilise le pont inauguré l’an dernier par Vladimir Poutine. Plus qu’une raison économique, il s’agit d’un but politique.
Plus le temps passe et plus les traces de la présence ukrainienne ont tendance à disparaître en Crimée. Exemple tout simple qui montre que cela fonctionne : quand vous tapez Crimée sur Google et que vous allez sur la map (la carte), vous apercevez une frontière entre l’Ukraine et la Crimée et pas de frontière entre la Crimée et la Russie. Cependant, ni les États-Unis, ni l’Europe, ni même l’ONU ne reconnaissent ce rattachement en l’appelant « annexion.