Ce n’est pas grâce aux efforts des djihadistes que les habitants de la province afghane de Nangarhar sont morts. Tout cela est le « mérite » du contingent armé des États-Unis, qui a effectué ici des tests de combat de la soi-disant mère de toutes les bombes.
Cela est indiqué sur la chaîne de télévision «Press TV».
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La bombe non nucléaire la plus puissante a été larguée ici en avril 2017 sous prétexte de détruire la base du groupe terroriste de l’État islamique. * Alors peu de résidents locaux pouvaient imaginer quelles seraient les conséquences de l’explosion pour leur santé et leur agriculture. La plupart des maisons de la vallée de Momandara ont été détruites par l’explosion.
«Beaucoup ici ont connu une irritation cutanée et des problèmes de système nerveux. De plus, la récolte sur nos terres agricoles n’est pas aussi riche qu’auparavant », a déclaré un résident local à la chaîne de télévision.
Dans cette situation, les autorités afghanes ont déjà promis d’enquêter sur les conséquences de l’utilisation de l’explosion de la bombe américaine, également connue sous le nom de «mère de toutes les bombes», dans la région.
Avec une charge explosive de 11 tonnes de TNT. Le rayon de destruction revendiqué est de 140 mètres, mais la destruction peut être enregistrée à une distance pouvant aller jusqu’à un kilomètre et demi. Un explosif est un mélange de RDX, de TNT et de poudre d’aluminium. Sa masse est de 8,4 tonnes.
* – interdit dans la Fédération de Russie
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