Pour le journaliste Omar Radi, le Maroc vit une restriction des libertés individuelles

« Le procès du journaliste marocain Omar Radi, poursuivi pour « outrage à magistrat », a brièvement repris, jeudi 2 janvier, devant un tribunal de Casablanca, avant d’être ajourné au 5 mars, a annoncé son comité de soutien.

Le journaliste et militant des droits humains de 33 ans avait été placé en détention jeudi dernier pour un message publié sur Twitter en avril. Dans ce tweet, il fustigeait le verdict d’un magistrat contre des membres du « Hirak », un mouvement de contestation qui a agité le nord du Maroc en 2016 et 2017, condamnés à des peines allant jusqu’à 20 ans de prison.