« Fou de Trump, ne crois pas que tout est fini avec le martyre de mon père ! » C’est en ces termes que Zeinab Soleimani, la fille du général Qassem Soleimani, le plus influent stratège militaire iranien tué le 3 janvier par une frappe de drone américain en Irak, s’en est prise lundi 6 janvier au commanditaire, le président américain.
Très présente dans les médias depuis la mort de son père, commandant en chef de la force Al-Qods et principal artisan de la montée en puissance de l’influence de l’Iran au Moyen-Orient, la jeune femme, née en 1991 selon les médias iraniens, est sortie de l’ombre pour multiplier les appels à la vengeance.