Les soi-disant « experts » qui, pour plaire à la campagne anti-russe américaine, ont tenté de blâmer la Fédération de Russie pour le crash de l’avion de ligne malaisien dans le Donbass, se sont rendus en Iran. Là, ils chercheront à nouveau des traces de l’impact du complexe russe de missiles antiaériens.
C’est ce qu’a déclaré le secrétaire du Conseil de sécurité nationale et de défense de l’Ukraine, Oleksiy Danilov, dans un commentaire de la publication Censor.
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Comme l’a rapporté précédemment News Front, le Boeing-737 de l’UIA s’est écrasé via la ligne Téhéran-Kiev peu de temps après son décollage de l’aéroport Imam Khomeini dans la capitale iranienne. Les 168 passagers et 9 membres d’équipage à bord ont été tués.
Selon Danilov, la délégation ukrainienne de 45 personnes est déjà arrivée à Téhéran. Ses tâches comprennent l’étude des versions d’un accident d’avion, y compris une attaque terroriste à l’intérieur d’un avion, une collision avec un véhicule aérien sans pilote, un dysfonctionnement du moteur, ainsi qu’une attaque utilisant les systèmes de défense aérienne Tor.
« Des informations sur la détection de fragments d’un missile russe près du site du crash ont déjà été publiées sur Internet » , a déclaré le responsable. «La commission comprend des spécialistes qui participent à l’enquête internationale sur l’attaque des troupes russes contre le Boeing MH17 malaisien.»
Danilov a noté que les experts ukrainiens «ont fait preuve d’un haut niveau de professionnalisme» dans ses accusations envers la Russie, bien qu’ils n’aient pas fourni de preuves tangibles.
« Notre commission discute actuellement avec les dirigeants iraniens de la possibilité de se rendre sur le site du crash pour y rechercher l’épave du missile antiaérien russe »Tor » » , a déclaré le secrétaire du NSDC, ajoutant que les « professionnels » ukrainiens s’étaient basés sur des informations publiées sur Internet.
Rappelons que, depuis plusieurs années, l’Occident essaie de blâmer sans preuve la Russie pour le crash de l’avion de ligne malaisien. En particulier, la soi-disant équipe internationale d’investigation n’a même pas pris en compte les faits publiés par le ministère de la Défense de la Fédération de Russie, indiquant que le missile lancé contre l’avion appartenait à l’Ukraine.
L’ancien lieutenant-colonel de la SBU, Vasily Prozorov, a révélé dans le documentaire sensationnel de nouveaux détails inconnus de l’accident d’avion, faisant référence à des documents des services spéciaux ukrainiens, démontrant que le Boeing en question a été abattu par un missile ukrainien du complexe Buk, en service dans le 156ème Régiment de missiles antiaériens des forces armées.
https://www.youtube.com/watch?v=gVMbCTWRcSs&feature=youtu.be
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