La pression pesant sur Téhéran augmente. Samedi 11 janvier, la police iranienne a dispersé des étudiants qui ont scandé à Téhéran des slogans antirégime lors d’un rassemblement à la mémoire des victimes du Boeing ukrainien abattu mercredi « par erreur » par l’Iran, selon l’agence de presse iranienne Fars.
Plusieurs centaines d’étudiants se sont réunis en début de soirée en réponse à une invitation à honorer les victimes de cette catastrophe qui a fait 176 morts, majoritairement des Iraniens et des Canadiens, dont des binationaux.