Les violences nocturnes et les arrestations de la veille ne les ont pas freinés. Des centaines de personnes ont de nouveau manifesté, vendredi 17 janvier, à Beyrouth.
Près du Parlement et de la Banque centrale, qu’ils jugent en partie responsables de la situation de leur pays, les contestataires ont de nouveau dénoncé la grave crise économique dont souffre le Liban, mais aussi une classe politique gangrénée par la corruption et l’incompétence.