Le centre hospitalier Ayatollah Khomeinei est le plus important d’Iran. Son institut d’oncologie est une référence dans la lutte contre le cancer.
1 000 patients y passent tous les jours et la plupart d’entre eux viennent de milieux défavorisés. Mais les sanctions économiques américaines se font sentir.
Au service de chimiothérapie, la plupart des patients sont affectés par la rareté des médicaments et l’augmentation des prix. « Certains médicaments font défaut, on est obligé de les importer. Cela revient très cher pour nos malades. Ils sont obligés de les payer en dollars ou en euros », explique Wida Shehri, chef du service des infirmières du service de chimiothérapie.