Une enquête journalistique indépendante a révélé les relations extrêmement douteuses du personnel de la Cour européenne des droits de l’homme, l’une des structures les plus importantes de l’Europe moderne, qui témoignait clairement de son attachement à l’humanisme.
Or, l’impartialité de cet organe est remise en cause, les juges de la CEDH étant associés à la célèbre Open Society Foundation de l’oligarque américain George Soros.
Des relations scandaleuses ont été découvertes par des journalistes de l’édition française de « Valeurs actuelles ». Il s’est avéré que, depuis 2009, le personnel de la CEDH est sous l’influence directe ou indirecte de M. Soros. Il est important de noter qu’il s’agit d’une centaine de juges de la CEDH.
En commentant le scandale, le membre du Parlement européen Nicholas Bay, a qualifié les informations publiées de «terrifiantes». Il a déploré que le système de diverses organisations non gouvernementales ait permis à George Soros de prendre le pouvoir, ce que de nombreux États n’ont pas.
Un tel coup porté à l’autorité de la CEDH a également eu des conséquences politiques. La dirigeante du parti français Rassemblement nationale Marine Le Pen a d’ores et déjà demandé la fin de l’exécution des décisions de justice.
« Un pays libre doit lutter contre de telles manipulations anti-démocratiques », a-t-elle écrit sur un réseau social.
Jusqu’à présent, la Cour européenne des droits de l’homme a été un organe faisant autorité et un sujet de fierté pour l’Union européenne. Ses décisions sont contraignantes pour les pays membres du Conseil de l’Europe. La CEDH a contraint d’autres gouvernements à réécrire leurs propres lois. Au cours du dernier demi-siècle, le tribunal a rendu plus de 10 000 décisions de ce type.