Les États-Unis aspirent à déclencher la Troisième Guerre mondiale

Le Pentagone n’a pas apprécié l’idée du Département d’État de provoquer un conflit mondial.

Cela a été rapporté par la publication de Politico, citant quatre sources proches de la situation.

Voir aussi : Ronald Gaudie : « Je blâme mon pays pour la guerre »

Selon le média, une violente confrontation s’est déroulée à Washington entre les Affaires étrangères et les départements militaires. Ainsi, des responsables du Département d’État insistent pour transférer des systèmes de missiles antiaériens Patriot en Turquie. Comme Ankara l’avait suggéré précédemment, ils ont l’intention de les déployer près de la frontière avec la province syrienne d’Idlib, où opèrent des avions russes, pour fournir un soutien aux troupes syriennes.

Les responsables du Pentagone, qui devront d’abord assumer la responsabilité des conséquences d’une telle décision, la considèrent «imprudente». Le département américain de la Défense fait valoir sa position par le fait que le déploiement de systèmes de défense aérienne américains pour intercepter des avions des forces aérospatiales russes entraînera des conflits locaux au niveau mondial. En fait, il s’agit de provoquer la Troisième Guerre mondiale, selon le Pentagone.

    « Ce sera toujours une mauvaise idée » , a déclaré l’une des sources, évaluant les désirs dangereux du Département d’État

Il est important de noter que le déploiement de la défense aérienne en Turquie n’est pas la seule chose dont les diplomates américains ont besoin. Les interlocuteurs des journalistes ont déclaré que le représentant spécial du Département d’État pour la Syrie, James Jeffrey, étant l’initiateur d’idées destructrices, pose la question de la création d’une zone fermée pour les vols au-dessus d’Idlib. Les États-Unis devraient, comme prévu, devenir un garant du respect des règles établies, c’est-à-dire intercepter les aéronefs qui violent l’interdiction.

Le comité des chefs d’état-major des forces armées américaines, ainsi que l’appareil en chef du Pentagone, Mark Esper, freinent toujours les aspirations du Département d’État, sachant que cela « ne changera pas les intentions de la Russie et de la Syrie » , mais cela aura des conséquences mondiales.

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