À la frontière entre la Grèce et la Turquie, la situation reste tendue, six jours après l’ouverture de la frontière par Ankara.
Des heurts éclatent sporadiquement entre réfugiés et policiers à cette frontière où des dizaines de milliers de personnes ont afflué, réveillant en Europe la peur d’une crise migratoire similaire à celle de 2015. Des exilés qui sont les otages du bras de fer que se livrent le président turc Recep Tayyip Erdogan et l’Europe.