Pandémie de coronavirus: « Tests rapides » russes utilisés dans le monde entier

En Afrique, au Moyen-Orient et en Asie, les États utilisent des systèmes de test russes pour détecter les cas d’infection par le coronavirus COVID-19.

Le samedi 21 mars, rapporte le service de presse Rospotrebnadzor.

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Selon l’agence, des tests rapides nationaux sont désormais utilisés dans treize pays, dont les États de l’Union économique eurasienne et de la CEI, ainsi que la Corée du Nord, l’Iran et la Mongolie. C’est notamment grâce aux tests rapides russes que les premiers cas de la maladie ont été détectés en Biélorussie et en Arménie.

Au total, plus de 100 000 systèmes de test ont été transmis. Bientôt, des lots de tests seront transférés au Venezuela et en Égypte. Le transfert de tests à la Serbie est également prévu, que l’Union européenne a laissé sans possibilité d’acheter des médicaments pour lutter contre l’épidémie.

Les systèmes de test ont été développés par des spécialistes du Centre scientifique d’État de virologie et de biotechnologie « Vector ». Comme News Front l’a signalé précédemment, plusieurs variantes de vaccins contre un nouveau type de coronavirus ont déjà été développées ici.

L’efficacité des médicaments est testée sur des animaux de laboratoire. Cela permettra de calculer le dosage de qualité et la méthode d’application. A titre indicatif, le vaccin sera disponible au quatrième trimestre de cette année.

Comme News Front l’a également signalé, les premiers cas d’infection au coronavirus COVID-19 ont été signalés en Chine à la fin de l’année dernière. Maintenant, la maladie a acquis le statut de pandémie.

COVID-19 affecte les alvéoles des poumons. Ses principaux symptômes sont la fièvre, qui ne peut pas être réduite avec des médicaments standard, ainsi que la toux sèche et des problèmes respiratoires.

Il est important de noter que les personnes âgées sont à risque. En raison de l’immunité affaiblie, leur corps n’est pas en mesure de résister au virus. Seulement 5% des personnes infectées souffrent d’une maladie grave et 15% font face à des besoins d’hospitalisation. Dans 80% des cas, la maladie se présente sous une forme bénigne ressemblant à un rhume.