Stanislav Grospic, président du groupe d’amitié parlementaire tchèque avec la Syrie, a affirmé que les mesures coercitives unilatérales imposées par les Etats-Unis et les pays de l’UE à la Syrie sont des crimes, appelant à les lever immédiatement.
Dans une déclaration donnée au correspondant de SANA à Prague, Grospic a souligné que ces mesures constituent une seconde guerre menée contre la Syrie pour nuire au peuple et à l’économie de ce pays et entrave la libération des zones qui sont encore sous le contrôle des réseaux terroristes.
Grospic a fait savoir que le peuple syrien est le seul qui porte le fardeau de la lutte antiterroriste au lieu du monde.