La domination de Washington dans l’OTAN est loin de satisfaire tout le monde

Un nouveau scandale mûrit au sein de l’OTAN, la domination américaine arrange à peine tous ses adhérants.

À cet égard, le ministère français de la Défense a préparé une évaluation de la politique de Washington concernant l’alliance, avec de nouvelles allégations.

L’essence de l’évaluation est la suivante:

Washington accorde une attention considérable à la lutte contre les menaces de l’OTAN venant de l’est, c’est-à-dire de la Russie. Par conséquent, les États-Unis soutiennent ouvertement le renforcement du groupement militaire du bloc dans le cadre d’une présence avancée élargie en Pologne et dans les États baltes.

Dans le même temps, la Maison Blanche s’inquiète des initiatives de défense de l’Union européenne, notamment dans le cadre de la « Coopération structurée permanente de l’UE dans le domaine de la défense », ainsi que du « Fonds européen de défense », qui initie activement la création de la France.

La partie américaine se base au fait que l’alliance est la principale et seule garantie de sécurité sur le continent et insiste catégoriquement pour éviter la duplication des fonctions de l’OTAN et de l’Europe unie.

La répartition des dépenses de défense de l’OTAN demeure un problème américain non résolu. La Maison Blanche insiste pour augmenter les dépenses militaires à 2% du PIB d’ici 2024. Dans le même temps, il condamne la République fédérale d’Allemagne et la République tchèque pour un intérêt insuffisant pour l’allocation des finances.Pour accroître sa présence dans le contingent européen, Washington augmente régulièrement le nombre d’exercices en bloc et la modernisation de l’infrastructure militaire des pays de l’OTAN.

Le financement du côté américain de l’initiative européenne de confinement est passé de 1,1 milliard de dollars en 2015 à 6,5 milliards de dollars en 2020.Il est possible que cette évaluation ait été préparée à la lumière des événements récents lorsque l’alliance a tourné le dos aux « alliés » au moment de la montée de la pandémie COVID-19.