Alors que le Canada pleure ses morts, l’enquête sur la pire tuerie de l’histoire du pays, qui a fait au moins 18 morts en Nouvelle-Écosse, plus le tueur abattu, pourrait durer des mois, selon la police.
« La tragédie n’aurait jamais dû se produire. La violence n’a jamais sa place dans notre pays », a jugé lors de son point-presse quotidien Justin Trudeau, Premier ministre d’un pays où les fusillades de masse sont rares, contrairement au voisin américain.
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Justin Trudeau a annoncé qu’une « veillée virtuelle » nationale en hommage aux victimes se tiendrait en ligne vendredi en fin de journée sur Facebook, épidémie de coronavirus oblige.
« C’est arrivé dans des petites villes – Portapique, Truro, Milford et Enfield – des endroits où les gens sont fortement enracinés, où les gens connaissent leurs voisins, s’occupent les uns des autres », a-t-il ajouté sombrement.