Une parlementaire tchèque a réclamé la mise d’un terme aux mesures économiques coercitives imposées à la Syrie.

La députée parlementaire tchèque, Kateřina Konečná, a réclamé la mise d’un terme aux mesures économiques coercitives imposées par l’Occident à la Syrie.

Dans une déclaration qu’elle a accordée au correspondant de l’agence syrienne SANA à Prague, Konečná s’est opposée au principe d’imposer ces mesures, exprimant son intention d’inviter le vice-président de la Commission européenne à les lever.

Elle a souligné qu’elle avait déjà soutenu une proposition présentée au Parlement européen pour mettre fin à de telles mesures, qui n’ont aucune signification, imposées aux pays qui avaient montré une capacité plus efficace de lutter contre le coronavirus que certains pays occidentaux.