La poursuite des mesures coercitives imposées à la Syrie est un crime, estime Stanislav Grospic

Le dirigeant du groupe d’amitié parlementaire tchèque avec la Syrie, Stanislav Grospic, a affirmé que la détermination des pays occidentaux à poursuivre les mesures économiques unilatérales imposées à la Syrie et à autres pays, constituent « un crime et un acte irresponsable ».

Dans une déclaration faite au correspondant de l’agence SANA à Prague, M. Grospic a indiqué que ces mesures affectent les conditions de vie de millions de personnes en Syrie et dans d’autres pays, appelant à y mettre fin, notamment en ce temps où les pays confrontent la propagation de covid-19.