Ankara poursuit la politique du déplacement des habitants syriens de leurs villages

Appuyés des mercenaires terroristes les forces d’occupation turques poursuivent l’application de la politique de déplacement systématique des citoyens syriens dans les zones qu’ils occupent à Hassaké, en plus des actes de meurtre, d’enlèvement et de cambriolage armé qu’ils perpètrent contre les habitants et leurs propriétés.

Selon la direction des Affaires sociales et du Travail à Hassaké, environ 50 mille personnes des habitants de la banlieue nord de Hassaké et de la ville de Ras Ain souffrent de la douleur du déplacement forcé de leurs maisons pour vivre dans les centres d’accueil ou en tant qu’hôtes chez les autres après que leurs maisons aient été transformées en des logements pour les mercenaires de l’occupant turc, qui viennent de la banlieue d’Alep et de la Turquie, dans un plan systématique et bien examiné pour  faire un changement démographique total de la région et réinvestir dans le terrorisme.

Dans le même contexte, une source dans la banlieue de Ras Ain a indiqué que les mercenaires de l’occupant turc avaient réparti des dizaines de familles mercenaires dans les villages proches, notamment ceux dans la zone d’Abou Rasseine, et dans les villages de Mreikiz, Lazqa et Jan, et qu’ils s’y étaient emparés des projets agricoles des habitants.

La source a ajouté que l’occupant turc et ses mercenaires exécutent une politique systématique en vue d’expulser les habitants et les déplacer.