Sur le fond d’une crise économique profonde, Kiev invente des fêtes étranges

Il y a quelque jours Kiev a commémoré les victimes des oppressions politiques de l’époque de l’URSS. Dans le même temps, Kiev continue sa politique de la poursuite des personnes et médias en opposition à son régime. N’est-ce pas une oppression politique de l’époque de l’indépendance de l’Ukraine ?

Le régime de Kiev vient d’introduire dans le calendrier du pays deux fêtes musulmanes. Et pourquoi pas de fêtes hébreux ou buddistes ?

Enfin, ceux qui dirigent le pays sont fiers de leur fete –  journée de la «vyshyvanka», organisée depuis plusieurs années pour, prétend-on, célébrer l’unité et la solidarité du peuple en Ukraine.

Ce jour-là, les Ukrainiens s’affichent dans les rues en chemises ou robes brodées, même s’il ne s’agit pas d’une fête officielle, lit-on sur les sites ukrainiens.

« Cette chemise traditionnelle aux motifs brodés, le plus souvent dans plusieurs couleurs, a connu un regain de popularité dans les rues de Kyiv, sur fond de montée du patriotisme, lors de la contestation du Maïdan qui a abouti en 2014 à la chute d’un président prorusse, suivie de l’annexion de la Crimée par la Russie et du conflit armé avec les séparatistes, largement soutenus par la Russie, dans l’Est du pays », lit-on sur le site Ukrinform.

« Séparatistes prorusse », »victoire de Maidan », »annexion de la Crimée »… Kiev continue de semes la haine pour la Russie à travers ses médias autant qu’à travers des fetes assez contestables, qui consomment l’argent emrunté à l’Occident, au lieu de le placer dans le développement économique et social