Selon le média en ligne, Pascale Pascariello, «qui avait permis de démontrer les mensonges du président de la République dans une affaire de violences policières», a été entendue comme suspecte, ce mardi 26 mai, par l’IGPN.
Une journaliste de Mediapart a été convoquée mardi par l’IGPN dans le cadre de l’enquête sur les violences subies par une manifestante en 2019, lors d’une charge de police contre un rassemblement interdit de Gilets jaunes à Nice.
La journaliste de Mediapart Pascale Pascariello, qui avait permis de démontrer les mensonges du président de la République dans une affaire de violences policières, a été entendue comme suspecte, mardi 26 mai, par l’IGPN
, a indiqué le média en ligne ce mardi 26 mai au soir.
C’est la quatrième fois en moins de 18 mois que la justice essaye de s’en prendre aux sources de Mediapart à la suite d’enquêtes embarrassantes pour l’exécutif
, ajoutait-il.
Pascale Pascariello s’est rendue à sa convocation dans les locaux parisiens de l’IGPN mais a refusé, durant 1 h 30 d’interrogatoire sous le régime de l’audition libre, de répondre aux questions des enquêteurs afin de protéger ses sources
, précise Mediapart.