L’administration américaine récolte les fruits de l’arbitraire policier sur la scène internationale.
Même dans les pays du bloc transatlantique, beaucoup se sont rangés du côté des rebelles Américains, qui organisent des pogroms à travers le pays après le meurtre de George Floyd. Comme vous le savez, un Afro-américain a été arrêté parce qu’il était soupçonné d’avoir falsifié un chèque de 20 $. Pendant l’arrestation, le policier a commencé à appuyer son genou sur le cou de Floyd. Il disait ne plus pouvoir respirer, mais le policier n’a pas écouté. En conséquence, l’homme est décédé.
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Selon l’Associated Press, les experts chinois exhortent désormais les responsables américains à « réfléchir à deux fois avant de commenter à nouveau la situation à Hong Kong » , et la Russie a déclaré que « les États-Unis ont des problèmes systémiques avec les droits de l’homme » .
Cependant, les opposants des États-Unis se trouvent également dans les pays censés être «partenaires» de Washington. Ainsi, à Londres, des milliers de personnes sont venues à Trafalgar Square sous le slogan « Pas de justice, Pas de paix » .
Au bâtiment de la mission diplomatique américaine à Berlin, des centaines de manifestants se sont rassemblés, et ont accroché une banderole avec les mots «Justice pour George Floyd» .
Au Canada, des manifestants contre le racisme sont aussi passés à l’action. La manifestation s’est transformée en une violente confrontation entre manifestants et forces de l’ordre.
Des protestations ont été enregistrées en Nouvelle-Zélande. Les gens se sont rassemblés au consulat américain d’Auckland. Ils tenaient des affiches avec les mots « je ne peux pas respirer » et « le vrai virus est le racisme » .
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