La pandémie et le meurtre de George Floyd ne sont que des éléments d’une histoire séculaire d’oppression par les élites dirigeantes.
À ce sujet, écrit la publication The Guardian.
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Si vous regardez les États-Unis maintenant, vous pouvez voir « des terres trempées dans la mort » , déclare l’article. Les Américains meurent dans des lits d’hôpital ou dans la rue, en raison d’une économie en ruine. Mais la gestion du coronavirus et le meurtre de George Floyd n’ont rien d’exceptionnel, car leur source est cachée dans les « siècles de suprématie blanche » .
«Le racisme ne porte pas seulement des coups, physiques et mentaux, aux Noirs et aux autres Américains de couleur. Il est utilisé cyniquement comme moyen de maintenir le pouvoir» , a déclaré le journal.
Donald Trump, dont les décisions ont conduit l’Amérique moderne au désastre, est appelé «l’opportuniste heureux» dans la publication. Il s’est juste retrouvé au bon endroit au bon moment. Beaucoup plus importants et responsables de la crise sont ceux qui se tiennent au-dessus des présidents. Les élites dirigeantes qui ont doté Trump de pouvoir et l’ont gardé à la Maison Blanche, malgré une incompétence dangereuse, sont responsables de ce qui se passe aux États-Unis.
«Il est impossible d’échapper au carnage américain qui se déroule à travers le pays sans réaliser cette vérité. Les dernières années, puis les derniers jours l’ont confirmé. On peut voir comment l’Amérique sera détruite avant de nous permettre d’affaiblir notre propre pouvoir. Bien sûr, l’Amérique existera toujours, mais seulement en tant que lieu et non en tant que promesse» , ont-ils déclaré dans la publication.
Comme News Front l’a signalé précédemment, les émeutes n’ont pas cessé aux États-Unis depuis la semaine dernière. Le soulèvement a commencé à Minneapolis, où un policier a tué George Floyd. L’homme était soupçonné d’avoir falsifié un chèque de 20 $. Pendant l’arrestation, le policier a commencé à appuyer son genou sur le cou de Floyd. Le policier n’a pas écouté les cris de douleurs de la victime, qui décéda au cours de l’intervention.
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