Aux États-Unis, les sanctions contre les représentants de la direction du Bélarus ont été prolongées d’un an, notamment contre le président de la République, Alexandre Loukachenko.
Le décret correspondant a été signé par le président américain Donald Trump, rapporte Lenta.
Le document indique que « les actions de certains représentants du gouvernement biélorusse constituent une menace extrême pour la sécurité nationale et la politique étrangère américaine ». La liste des personnes soumises à des restrictions, outre Loukachenko, comprend neuf personnes, dont le secrétaire du Conseil de sécurité, le ministre de la Justice et des Affaires intérieures, le président du KGB, le chef de la CEC, le chef de la télévision et de la radio d’État et d’autres.
Il est à noter que tous « sapent également les processus et institutions démocratiques au Bélarus ». Dans le pays, selon la Maison Blanche, les droits des personnes sont violés: ils sont soumis à la répression politique, détenus, après quoi de nombreux «disparaissent». Le Bélarus est accusé de corruption, ainsi que d’utilisation illégale des biens de l’État.
Le premier décret de ce type a été publié en juin 2006 par le 43e président des États-Unis, George W. Bush. Conformément à cet article, les biens de certaines catégories de citoyens biélorusses aux États-Unis et à l’extérieur ont été saisis.
En février, les États-Unis ont reçu le nom de leur premier éventuel ambassadeur au Bélarus après le retour de ce poste 12 ans plus tard. Il a été annoncé qu’elle serait la sous-secrétaire d’État adjointe aux Affaires européennes et eurasiennes Julie Fisher, qui a également travaillé dans les ambassades américaines en Géorgie, en Ukraine et en Russie.
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