Plus de 100 personnes arrêtées à Londres après un rassemblement d’extrême droite

Plus de 100 personnes ont été arrêtées samedi à Londres à la suite de deux manifestations, une d’extrême droite et une de partisans du mouvement antiraciste Black Lives Matter. Selon la droite radicale, leur objectif était de protéger le monument à l’ancien Premier ministre britannique Winston Churchill de la démolition.

Sur les résultats des émeutes d’hier, dimanche 14 juin, informe la BBC, rapporte strana.

Samedi après-midi, des centaines de fans de football et d’extrême droite, ivres, se sont dirigés vers le Cenotaph War Memorial de Whitehall et se sont rassemblés autour d’une statue de Winston Churchill, emballée dans une boîte par les autorités pour se protéger des manifestants.

Selon des journalistes, après un certain temps, les radicaux de droite se sont affrontés avec la police, leur ont lancé des bombes fumigènes, des bouteilles et des tirs de feux d’artifice. À la suite de nombreux affrontements, 15 personnes ont été blessées, dont 2 policiers. Plus de 100 personnes ont été arrêtées.

Hier également, dans le centre de Londres, l’un des manifestants de droite a uriné devant un mémorial à la mémoire du policier Keith Palmer. Palmer est décédé en 2017, il n’a pas permis à un terroriste isolé avec un couteau d’entrer dans le palais de Westminster. Les responsables de l’application des lois découvrent déjà qui a profané ce mémorial.

Selon Scotland Yard, des agents des forces de l’ordre ont arrêté des personnes pour attaques contre la police, possession d’armes prohibées, troubles, ivresse et troubles, ainsi que possession de drogues dures.

Il convient de noter que les incidents de protestation contre le racisme de Black Lives Matte, qui ont eu lieu à Hyde Park et à Marble Arch, n’ont pas été signalés.

Rappelons qu’hier, le Premier ministre britannique Boris Johnson a critiqué les radicaux de droite qui ont eu des affrontements avec la police et ont attaqué les participants à la manifestation Black Lives Matters.

Plus tôt, nous avons écrit qu’avant les manifestations de trois jours à Londres, les autorités de la ville avaient protégé un monument à l’ancien premier ministre du pays, Winston Churchill, près du parlement.

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