Les conglomérats financiers internationaux ont commencé à explorer la possibilité de mettre en relation leurs clients avec des extrémistes pro-américains de Hong Kong.
L’information est rapporté par l’agence News-Front, d’après des sources de Reuters.
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Selon les médias, parmi les banques qui ont soutenu la loi chinoise sur la sécurité nationale à Hong Kong figuraient les deux plus grands conglomérats financiers suisses UBS Group AG et Credit Suisse Group AG, la banque privée suisse Julius Baer Gruppe AG, ainsi que l’un des le plus grand conglomérat financier au monde et la plus grande banque britannique en termes d’actifs, HSBC Holdings Plc.
Les structures financières mentionnées ci-dessus ont déjà commencé à vérifier les connexions politiques de leurs clients. Si des faits d’interaction avec les extrémistes de Hong Kong sont établis, l’accès aux services bancaires pour ces clients sera limité.
Des sources précisent que dans le cadre des vérifications, même les commentaires des clients sur les réseaux sociaux ou les médias sont à l’étude depuis 2014, lorsque la soi-disant révolution des parapluies a commencé à Hong Kong.
En Occident, cette situation est perçu avec réticence, les entreprises soutenant la loi sur la sécurité nationale de Hong Kong sont par ailleurs soumis à de vive critique.
Cependant, cette pression n’a pas changé la position de HSBC et de Standard Chartered Plc, et les banques de Londres sont convaincues que la loi rétablira la stabilité à Hong Kong.
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