Affirmant vouloir contrer une vague de « criminalité violente », le président américain Donald Trump a annoncé mercredi « une hausse des forces de l’ordre fédérales » à Chicago.
Malgré ces violences, plusieurs maires démocrates s’opposent à l’envoi d’agents fédéraux dans leurs villes.
Le président américain Donald Trump a annoncé mercredi 22 juillet renforcer les effectifs des agents fédéraux à Chicago, après une résurgence de la violence dans la troisième ville des États-Unis et malgré l’opposition de la maire démocrate de la métropole.
« J’annonce une forte hausse des forces de l’ordre fédérales dans les populations affectées par la criminalité violente », a-t-il dit depuis la Maison Blanche.
Le ministère américain de la Justice va « immédiatement augmenter le nombre d’agents de la police fédérale dans la ville de Chicago », a-t-il ajouté.
Présent aux côtés du président, Bill Barr, le ministre de la Justice, a précisé que l’opération concernerait Chicago, Kansas City et Albuquerque.
Environ 200 agents seront envoyés à Chicago, 30 à Albuquerque, au Nouveau-Mexique, et 200 se trouvent déjà à Kansas City, dans le Missouri, a-t-il dit.