Le défenseur des Droits a déclaré sur France Inter ne pas apprécier l’usage de l’expression «violences policières», trop généralisante.
Admettant certaines dérives, il a appelé à un travail de formation des policiers. Des propos qui ont fait réagir. Fraîchement nommée au poste de défenseur des Droits, Claire Hédon a donné son avis sur l’emploi des termes «violences policières» au micro de France Inter.
Ahurissant déni à l'égard des victimes, éborgnées, contrôlées au faciès, discriminées ! Comment lutter contre les #ViolencesPolicieres quand on refuse de les nommer ? On regrette déjà Jacques Toubon. Est-ce pour cela que #Macron a choisi Claire Hédon comme @Defenseurdroits ? https://t.co/TttJT7mtri
— Bastien Lachaud (@LachaudB) July 24, 2020
Elle a confié ne pas apprécier l’expression, qui fait selon elle peser un soupçon sur l’ensemble de la profession.
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