Même les secteurs de l’économie qui ont traversé relativement calmement le pic de la pandémie du coronavirus attendent avec impatience le verdict final du Brexit. Ses conséquences seront tragiques, que des accords soient conclus ou non avec l’UE.
L’information a été rapporté par News-Front en référence au rapport de la London School of Economics, qui ne sera officiellement publié que le mercredi 29 juillet.
Le document indique que le coronavirus et le Brexit commenceront à se manifester à l’automne. Ensuite, la nouvelle politique du chancelier du Trésor britannique Rishi Sunak, visant à soutenir les chômeurs, en conjonction avec les nouvelles réalités commerciales, commencera à donner des effets secondaires.
La pandémie a frappé les industries de l’hôtellerie, de la restauration, du transport aérien et du divertissement. Cependant, des secteurs tels que la comptabilité professionnelle, les services juridiques et d’édition ont été moins touchés car ils pouvaient travailler avec le personnel à distance.
Mais le Brexit créera de nouvelles barrières au commerce avec l’Union européenne. Des problèmes surgiront pour les sociétés pharmaceutiques qui souhaitent obtenir une approbation réglementaire, les banques qui doivent transférer des données à partir de serveurs européens, les constructeurs automobiles et les importateurs de vêtements confrontés à la bureaucratie douanière.
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