Le rockeur de 74 ans ne peut « permettre que sa musique serve de support à une campagne d’ignorance et de haine »

Pour Neil Young, la meilleure défense semble être l’attaque. Le chanteur va poursuivre en justice l’équipe de campagne de Donald Trump pour la présidentielle de novembre afin de l’empêcher de jouer ses chansons lors de meetings électoraux, selon une plainte publiée mardi 5 août sur le site du rocker (lien en anglais).

 

Lui, ainsi que d’autres artistes, avaient déjà menacé Donald Trump de poursuites judiciaires s’il continuait de passer leurs morceaux dans ses meetings. Neil Young a décidé de joindre l’acte à la parole.

L’artiste de 74 ans s’estime victime d’une violation de ses droits d’auteur pour l’utilisation sans son consentement des morceaux Rockin’ In The Free World et Devil’s Sidewalk à plusieurs rassemblements de Donald Trump, dont son récent meeting à Tulsa, dans l’Etat de Oklahoma.