Een présence du nouveau chef du gouvernement irakien, Donald Trump a réaffirmé jeudi, , sa volonté de retirer les troupes américaines d’Irak, mais sans préciser de calendrier, au moment où Washington et Bagdad font face au «défi» posé par les «groupes armés» souvent alliés de Téhéran.
Le président des États-Unis a reçu pour la première fois à la Maison-Blanche Moustafa al-Kazimi, nommé en mai dans un pays où Iraniens et Américains, ennemis jurés, se disputent l’influence. Et l’accueil a été chaleureux pour ce Premier ministre réputé être plus pro-américain que son prédécesseur, ce qui a contribué à relancer les relations après des mois de tensions — comme en témoigne cette invitation rapide dans le Bureau ovale.
«Nous avons une très, très bonne relation depuis le début», a dit le milliardaire républicain au sujet du dirigeant irakien, «un homme très respecté», qui l’a remercié en retour pour le soutien américain. À 74 jours de l’élection présidentielle, Donald Trump a renoué avec sa promesse de désengagement des théâtres d’opérations coûteux du Moyen-Orient.