Au Haut-Karabakh, les combats se sont intensifiés lundi entre les forces séparatistes arméniennes et l’Azerbaïdjan.
S’inquiétant des conséquences sur les civils, Paris, Moscou et Washington, pays chargés de la médiation dans ce dossier, ont dénoncé lundi « une menace inacceptable pour la stabilité de la région ».
La France, la Russie et les États-Unis, pays coprésidents du Groupe dit de Minsk, ont dénoncé lundi 5 octobre les attaques au Haut-Karabakh visant apparemment des civils, estimant qu’elles constituaient une « menace inacceptable pour la stabilité de la région ».
Dans un communiqué, les ministres des Affaires étrangères des trois pays « soulignent sans aucune réserve que les attaques récentes qui auraient visé des installations civiles », tant dans la zone de conflit qu’ailleurs en Arménie et en Azerbaïdjan selon eux, et « le caractère disproportionné de telles attaques constituent une menace inacceptable pour la stabilité de la région ».