Depuis le début de la pandémie de coronavirus, l’industrie pétrolière aux États-Unis a battu un record vieux de près d’un siècle.
En raison d’une diminution de la demande de produits pétroliers, le volume de la production de pétrole brut aux États-Unis est tombé au niveau de 1931. Puis, il y a 89 ans, il y avait 11 700 puits dans le pays. Aujourd’hui, leur nombre n’est plus que de 11 mille, bien que l’année dernière, c’était exactement le double, et en 2014, il a atteint un record de 45,5 mille, rapporte News-Front.
Comme le note la Deutsche Wirtschafts Nachrichten, les États-Unis s’adaptent ainsi aux réalités modernes du marché pétrolier, qui a subi des changements majeurs en raison de la pandémie de coronavirus.
Comme News Front l’a précédemment rapporté, les prix du pétrole ont chuté en raison de la pandémie de coronavirus et de la baisse de la demande qui en a résulté. La situation a été aggravée par l’effondrement de l’accord OPEP +. La crise a porté un coup sans précédent aux producteurs de pétrole américains.
Les travaux dans le segment du schiste se sont avérés pratiquement non rentables. Ainsi, si le prix du pétrole brut Brent tombait à son plus bas depuis 20 ans, alors le WTI américain atteignait des valeurs négatives.
En avril, les pays producteurs de pétrole ont néanmoins conclu un accord dans le cadre de l’OPEP +, les obligeant à réduire la production de ressources à 9,7 millions de barils par jour.
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