Le dirigeant arménien du Haut-Karabakh a estimé, dimanche, que la situation était « plus calme » que la veille dans le territoire séparatiste. Mais le cessez-le-feu entré en vigueur demeure fragile, en attestent les multiples explosions à Stepanakert samedi soir.
La situation reste toujours tendue dans le Haut-Karabakh, dimanche 11 octobre, malgré un cessez-le-feu entré en vigueur samedi. Araïk Haroutiounian, le dirigeant arménien du territoire séparatiste a estimé que la situation était toutefois « plus calme » que la veille.
« Hier (samedi) nous l’avons tous constaté, il n’y avait pas de cessez-le-feu. Il semble que depuis ce (dimanche) matin, c’est plus calme, mais cela peut changer très vite », a déclaré Araïk Haroutiounian, au cours d’une conférence de presse à Stepanakert, la capitale de l’Etat non-reconnu.