La fille du président libanais Michel Aoun a suscité cette semaine l’indignation au Liban en raison de ses appels répétés à la paix – mais avec des réserves importantes – avec Israël, a rapporté le Times of Israel.
Claudine Aoun, personnalité publique libanaise bien connue, avait déjà fait des remarques sur le sujet le mois dernier et a depuis réitéré ses propos à la télévision nationale à plusieurs reprises.
« Avant de parler de paix, nous devons délimiter les frontières et résoudre les problèmes liés à notre terre », écrivait-elle le 24 septembre, faisant référence à un différend sur la frontière maritime entre les deux pays.
« Nous soutenons tous le principe de la paix et j’espère visiter un jour Jérusalem, mais pas avant que tous les problèmes ne soient résolus », avait-elle ajouté.
Dimanche, elle a tweeté à nouveau sur ce sujet, ses propos ayant été largement partagés et critiqués au Liban.