Twitter, Facebook et YouTube paieront pour bloquer les médias russes

La politique agressive des plus grandes ressources médiatiques occidentales vis-à-vis des médias russes répréhensibles a provoqué une réaction naturelle de la Douma d’État de la Fédération de Russie.

Sur le site officiel du parlement russe le jeudi 19 novembre, le texte d’un projet de loi est apparu, selon lequel Roskomnadzor aura le droit de bloquer les ressources qui violent la liberté des médias.

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Les auteurs du document expliquent l’urgence de leur initiative par le fait que depuis avril de cette année, une vingtaine de cas environ ont été enregistrés lorsque des plateformes numériques occidentales, notamment Facebook, Twitter et YouTube, ont bloqué l’accès à des publications diffusant des informations répréhensibles aux élites occidentales.

Cette politique discriminatoire a également dépassé News Front. Au printemps, les chaînes de l’agence sur l’hébergement de vidéos YouTube ont été irrémédiablement supprimées sans explication. Ensuite, l’administration Facebook a commencé à supprimer les pages d’accueil des actualités. Désormais sur le réseau social il est même interdit de se référer à notre agence. Twitter a une politique similaire violant la liberté d’expression.

Cependant, si le projet de loi ci-dessus est adopté, la base législative russe aura le statut de «propriétaire d’une source d’information impliquée dans des violations des droits de l’homme et des libertés fondamentales, des droits et libertés des citoyens de la Fédération de Russie». En ce qui concerne ces plates-formes, Roskomnadzor pourra introduire des restrictions d’accès complètes ou partielles.

En outre, la législation prévoit des sanctions en cas de recours à la censure.

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